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C'est un Tsunami.
Un déferlement !
Des tonnes d’emails, d’articles, de vidéos, de posts, de pages de ventes sont partagés chaque jour.
Dans ta boite mails, les réseaux sociaux… partout.
Objectif : attirer l’attention, susciter l’intérêt, vendre.
Comment te démarquer dans ce fatras numérique ?
Voici 6 questions à te poser avant de créer.
Bien sûr, il existe d'autres règles pour rendre ton contenu plus efficace, plus captivant, plus digestible... mais déjà si tu te poses ces questions, tu feras un bon départ.
Lis bien jusqu'à la fin.
1. Une seule idée à la fois
Quand on a le cerveau qui bouillonne et des tas de choses à raconter, le risque est de créer de la confusion.
Ne traite qu'une seule idée à la fois par pièce de contenu.
Assure-toi de ne pas partir dans tous les sens, choisi un sujet, une idée, un concept à partager et évite d'en survoler plusieurs.
2. Un seul appel à l’action
Une règle dit ceci :
Chaque pièce de contenu que tu crées est censée mener quelque part.
L'erreur commune est donc d'écrire un article, une vidéo, un podcast et de ne pas inviter les personnes qui veulent aller plus loin à télécharger un document, répondre à une question, laisser un commentaire ou autre.
Pense à inviter ton audience à s’engager dans une action.
Idéalement, il ne faut qu’un seul appel à l’action, et tu dois y penser avant la rédaction de ton contenu.
Question à te poser :« Quelle est la seule et unique action que je veux que les personnes fassent après avoir profité de mon contenu ? »
Note 😇 : Les règles ne sont pas toujours faites pour être respectées. Autorise-toi dans certains de tes contenus à ne mettre aucun appel à l'action, ça fera moins "marketing" et ce sera apprécié. L'idée est de trouver un équilibre juste par rapport à l'ensemble de ta communauté.
3 - La raison !
Ce n’est pas parce que je te dis de faire quelque chose que tu vas le faire.
N’est-ce pas !?
Tu aimerais probablement savoir pourquoi je te demande de le faire et ce que ça va t'apporter.
Si tu écris un mail par exemple, demande-toi pourquoi la personne doit cliquer sur ton lien et explique-le clairement.
On est bien d’accord que la réponse n’est pas :
« Ben... je veux qu’ils lisent mon article, qu’ils regardent ma vidéo, qu’ils s’inscrivent à mon atelier, webinaire, qu'ils écoutent mon podcast … »
❓ La question est précisément pour_quoi doivent-ils le faire ? Qu’est-ce que cela va leur apporter ? Quels problèmes vont-ils régler ou éviter, quels résultats vont-ils obtenir ?
Si j'écris un e-mail pour promouvoir cet article, je dirais par exemple :
"Je t'encourage souvent à écrire des mails, des articles, des vidéos... Mais comment faire pour que ce contenu ne finisse pas dans la boîte de spams ? Comment éviter que tes articles te fassent perdre de la clientèle ?
“Clique ici et découvre 5 étapes pour écrire des mails qui vont rendre accro ton audience.... .bla bla bla…"
La question à te poser est donc :
« Quels résultats concrets et positifs mes prospects vont-ils obtenir, ou quelle douleur vont-ils éviter en faisant mon appel à l’action ? »
4 - Une émotion
Les décisions et les non-décisions sont majoritairement (consciemment ou non) le résultat d’une émotion ou d’un sentiment.
Autrement dit, l’émotionnel précède (presque) toujours l’action ou l'inaction.
Ce qui donne envie de lire un mail, un article, un livre, de regarder une vidéo, une série jusqu’au bout, c’est l’émotion et le sentiment qu’elle procure.
❓ Quelle est l’émotion que tu veux susciter avec ta pièce de contenu ? Que veux-tu que la personne ressente quand elle te lit ou t’écoute ?
Colère, tristesse, joie, dégoût, peur… ?
Ou peut-être un sentiment comme la motivation, frustration, détermination, culpabilité, impatience, curiosité, inquiétude, confiance, fierté, peur de perdre une occasion, colère de ne pas avoir fait les bons choix, détermination à changer ce qui doit l’être… ?
La question à te poser n'est pas une question, mais une phrase à compléter (je sais, je suis complètement dingue) :
« Ce que je veux que la personne ressente en lisant (ou en écoutant) ma pièce de contenu, c’est… »
5- L’histoire que tu racontes ;
Comment donner envie à ton lecteur de continuer à te lire ?
En racontant une histoire.
Par exemple, si je veux parler de l’importance d’être bien entouré pour faire face aux difficultés entrepreneuriales, je pourrais très bien utiliser l’histoire de Blanche-Neige et des 7 nains !
Je pourrais démarrer en disant un truc du genre :
“ Tous les entrepreneurs du bien-être devraient faire comme Blanche-Neige ! ”
De cette façon, non seulement je capte l’attention, mais en plus, je peux me laisser aller à raconter l'histoire de Blanche neige qui, à sa façon, nous enseigne que l’on a toujours besoin d’être entouré pour mener sa quête.
Une histoire peut aussi prendre la forme d’une métaphore, d’une étude de cas, etc.
Et sans tambour ni trompette, voici la question à te poser :
« Quelle histoire, métaphore, étude de cas, expérience de vie, pourrais-je bien utiliser pour mettre en valeur mon enseignement, donner envie de passer à l’action et qui puisse susciter de l’intérêt et de l’émotion ? »
6 - Ta singularité
Si tu as l’habitude de lire, tu peux facilement observer que les différents auteurs (même de blog) ont leur propre style.
Certains sont familiers, d’autres académiques, voire coincés, hyper littéraires, drôles, vulgaires, directs, poétiques, pince-sans-rire….
L'auteur français Jean-Paul Dubois que j'aime beaucoup par exemple, a son propre style, un humour subtil, un pince-sans-rire, en tout cas une tournure de phrase qui m’inspire.
Même sans être écrivain chevronné, tu as un style : Ose Être qui tu es vraiment et il apparaîtra par magie :-)
Ceci dit, tu pourrais avoir envie de donner un style particulier à ta pièce de contenu pour une raison ou une autre.
La question à te poser est tellement simple :
“Quel est mon style ou celui que je veux donner à ma pièce de contenu ?
Mais il y a quelque chose que je ne t’ai pas dit.
Ces 6 étapes risquent de ne pas suffire si tu ne sais pas comment toucher ton audience en plein cœur.
Idéalement, les personnes qui te lisent devraient se sentir concernées.
Se dire :
“ Bon sang, c’est fou, c'est à croire qu’il lit dans mes pensées, qu’il a mis une caméra chez moi”
Chuss